Institut Français du Tourisme - Le réseau des pôles d'excellence à vocation internationale pour la recherche, la formation et l'innovation en tourisme

Pour contribuer à améliorer la performance touristique de la France.

Le programme des candidats

 

Questions et thèmes abordés : Les réponses des candidats :


    • Quelle forme de gourvernance ministérielle pour le secteur du Tourisme ?
      Nommer une seule personne chargée du Tourisme – Rattacher le Tourisme à un grand Ministère (Quai d’Orasy ou Bercy) afin de gagner des arbitrages et de profiter de moyens conséquents.
    • Comment améliorer l’attractivité de la France et traiter la problématique de la sécurité pour les touristes étrangers ?
      Continuer et amplifier les campagnes de communication qui ont été lancées. Mobiliser dans ce sens tous les acteurs y compris les ambassadeurs qui voyagent à travers le monde. Continuer la diversification de l’offre, comme dans le tourisme durable. Faire des campagnes de communication avec les collectivités locales, notamment en faisant connaire les contrats de destination à l’étranger. Améliorer encore la formation avec des mesures sur la formation initiale, tout au long de la vie, l’apprentissage des langues étrangères,… Développer des offres spécifiques à destination des jeunes, notamment en améliorant et étendant le dispositif des chèques vacances, et grâce au revenu minimum des jeunes du programme de Benoît Hamon. Soutenir l’Economie Sociale et Solidaire en diversifiant l’offre et en permettant le développement de structures nouvelles en matière touristique.
    • Comment développer l’emploi dans le tourisme et faire face à l’ubérisation de l’économie touristique ?
      Concernant l’emploi, valoriser les métiers du tourisme, notamment auprès des jeunes en leur montrant que c’est un secteur d’innovation formidable, où il y a du travail, puisqu’il existe une excellence française, avec des emplois non délocalisables. Montrer que les nouvelles technologies ne sont pas un signe d’asservissement aux grandes plateformes, mais qu’elles offrent aussi la possibilité pour chacun de développer sa propre plateforme. Concernant l’ubérisation et afin d’éviter une concurrence déloyale, régulariser le secteur en incluant ces plateformes numériques dans le droit commun.
    • Simplification et fiscalité : quelles mesures prendre pour faciliter le travail des professionnels du tourisme ?
      Créer un statut unique qui permetta d’éviter la distinction et parfois une certaine discrimination entre salariés et indépendants, et qui donnera des droits à chacun quel que soit son type d’activité. Abaisser le seuil de déclenchement des aides de la BPI et de la CDC afin d’encourager toutes les initiatives en termes de projets touristiques, notamment les plus modestes. Défendre l’autonomie financière des collectivités locales dans leur engagement en matière touristique.
    • Comment aider les français qui ne partent pas en vacances ?
      Relancer le tourisme social en accompagnant les Comités d’Entreprise. Elargir les chèques-vacances aux employés non-salariés à domicile, et soutenir cette politique extrèmement importante pour les français. Selon la nouvelle vision de la société de Benoît Hamon, le temps de la vie, c’est bien sûr le temps de travail, mais aussi celui des loisirs qui ne sont pas improductifs puisqu’ils contribuent à la richesse économique de notre Pays. Ce nouveau paradigme qui consiste à accompagner et renforcer le pouvoir d’achat des plus modestes participer à renforcer la richesse de la France.

    Aurélie Filippettipour Benoît Hamon
    • Quelle forme de gourvernance ministérielle pour le secteur du Tourisme ?
      2 points essentiels en matière de gouvernance :
      1) Rattacher le tourisme au Quai d’Orsay et son réseau exceptionnel des ambassades à l’étranger;
      2) Soutenir l’ancrage local via le maillage territorial qui est essentiel. Egalement créer un « Conseil international du Tourisme » permettant au niveau institutionnel de coordonner au mieux les différentes actions de l’Etat, que ce soit au niveau des ambassades étrangères ou du mille-feuilles administratif qu’il conviendra de simplifier au mieux.
    • Comment améliorer l’attractivité de la France et traiter la problématique de la sécurité pour les touristes étrangers ?
      Concernant la sécurité, il s’agit de revenir à des considérations de bon sens :
      1) Traiter la sécurité du quotidien par les Polices de proximité,
      2) Traité le terrorisme de façon professionnelle par des services de Police ou militaire.
    • Comment développer l’emploi dans le tourisme et faire face à l’ubérisation de l’économie touristique ?
      L’ubérisation est un abus et un détournement même de la notion de travail. Pour le cas Uber, faire en sorte que tout individu travaillant de façon exclusive pour un employeur de fait puisse exiger voir cette activité couverte par un contrat en CDI et cela immédiatement. Quand cela sera fait pour les chauffeurs d’Uber, alors cette entreprise travaillera en concurrence réelle et non faussée avec les autres entreprises de transport opérant sur le territoire français. Raisonnement applicable à n’importe quelle plateforme d’intermédiation Internet. Internet apporte cependant des gains de productivité très importants ainsi que la possibilité de mettre en place des solutions et des offres qui n’étaient pas concevables avant. Favoriser ainsi l’innovation numérique en mettant en place des mesures de diffusion de bonnes pratiques permettant notamment au secteur du Tourisme de se saisir de ses aspects positifs.
    • Simplification et fiscalité : quelles mesures prendre pour faciliter le travail des professionnels du tourisme ?
      Assurer une concurrence non faussée entre les grands groupes à 8% d’impôts et les PME entre 28% et 30%. Inciter à l’investissement productif par une baisse de l’impôt sur société à 25%, une augmentation de ce taux pour les très grandes entreprises qui choisiraient une politique de distribution de dividendes qui s’inscrirait à rebours du réinvestissement dans l’entreprise, et une prime fiscale au réinvestissement dans l’entreprise des excédents et des profits. Lutter de manière absoluement déterminée contre la fraude fiscale. Réviser toutes les niches fiscales relativement à leur efficacité réelle tant du point de vue de l’entreprise bénéficiaire, qu’aun niveau social, écologique et d’intérêt général. Supprimer comme première niche fiscale le CICE qui est un hold’up généralisé des finances publiques de façon non différenciée. Réaliser un effort global de 100 Milliards d’euros par an financé notamment par la redirection de niches fiscales mal pensées, dont le CICE, vers l’investissement productif avec pour priorité la transition écologique et la protection de l’écosystème.
    • Comment aider les français qui ne partent pas en vacances ?
      Améliorer le pouvoir d’achat qui a été érodé depuis des années, pour permettre à nos concitoyens de partir en vacances. Augmenter en conséquence immédiatement de 16% le SMIC, tout en octroyant des aides aux TPE et PME pour les soutenir face aux difficultés transitoires qu’elles pourraient connaitre dans le cadre de cette revalorisation.

    Jean-Charles Hourcadepour Jean-Luc Mélenchon
    • Quelle forme de gourvernance ministérielle pour le secteur du Tourisme ?
      Pas de réponse précise sur la calibrage ministériel qui sera choisi pour le Tourisme. Problème de transversalité, d’arbitrages pour le Tourisme entre plusieurs Ministères qu’il conviendra de solutionner. Idée de nommer un nouveau responsable gouvernemental en charge du dossier tourisme, chargé d’assurer le pilotage et la mise en œuvre de la stratégie nationale en concertation avec les territoires.
    • Comment améliorer l’attractivité de la France et traiter la problématique de la sécurité pour les touristes étrangers ?
      Rendre l’offre touristique française à l’étranger plus lisible et plus visible sur l’ensemble des canaux de distribution avec une réelle stratégie digitale coordonnée entre les différents acteurs. Ne pas toucher à la taxe de séjour qui est gérée par les collectivités locales. Compléter le budget d’Atout France et améliorer la promotion de la France. Lancer une campagne ambitieuse d’accueil en sensibilisant les Français alliée à une campagne de sécurisation, animée par des personnes en service civique dans les lieux touristiques et coordonnés avec les collectivités locales et les gestionnaires d’aéroport et la SNCF. Concernant la sécurité, embaucher des policiers, développer les coopérations avec le secteur privé, et créer un monéo spécial touristique.
    • Comment développer l’emploi dans le tourisme et faire face à l’ubérisation de l’économie touristique ?
      En termes de fiscalité, mettre les opérateurs sur un même pied d’égalité. Concernant l’emploi, instaurer des mesures transversales à plusieurs secteurs d’activités comme le tourisme : accroitre notre offre touristique en assouplissant les crédits baux, en favorisant les partenariats public-privé locaux et en créant un crédit d’impôt pour la rénovation des logements en zone touristique, procéder à une baisse des charges salariales avec la transformation du CICE, soutenir la formation avec 15 Milliards d’euros prévus, assouplir la loi SRU pour construire notamment des résidences pour les saisonniers, améliorer le statut des travailleurs saisonniers en créant également un système de micro-franchises solidaires leur permettant de monter leur propre micro entreprise adossée à une plateforme de mise en relation avec les employeurs et d’aide à l’hébergement. Concernant les prud’hommes, développer une politique globale portant sur la visibilité qui sera donnée aux entreprises afin de faciliter l’embauche.
    • Simplification et fiscalité : quelles mesures prendre pour faciliter le travail des professionnels du tourisme ?
      Création du « droit à l’erreur » pour les entrepreneurs, voire certains salariés, dans les relations avec l’administration qui devra prouver la mauvaise foi de l’opérateur économique. Concernant la problématique des normes, et plus particulièrement celle des transmissions, mettre en place un moratoire sur certaines normes bloquantes lors de la reprise d’établissement touristique pendant 5 ans. En termes de fiscalité, baisser les charges sociales dans le cadre de la transformation du CICE, et donner de la visibilité. Sur la simplification, s’assurer qu’elle n’entraîne pas en réalité une complexification.
    • Comment aider les français qui ne partent pas en vacances ?
      Permettre à tout jeune de moins de 16 ans d’être parti au moins une fois en vacances, et à tout jeune de moins de 25 ans d’être parti au moins une fois en Europe. Renforcer l’accès aux chèques vacances des français en ouvrant à la concurrence les chèques Vacances afin que les salariés de PME puisse mieux en bénéficier, en permettant un accès aux salariés de la fonction publique aussi simple que l’accès des salariés du secteur privé et en créant des chèques vacances européen. Relancer les colonies et classes vertes en simplifiant les normes et procédures d’organisation. Lancer un PASS culture à 500 euros, avec une possibilité notamment de voyager, ouvert à partir de 18 ans. Inciter les professionnels à renouveler leur offre. Pour les politiques, travailler pour rénover de manière intelligente et durable les résidences de colonies ou d’accueil « l’aide à la pierre »… Revoir la question du tourisme téléguidé par les CE n’est plus d’actualité.

    Arnaud Leroypour Emmanuel Macron
    • Quelle forme de gourvernance ministérielle pour le secteur du Tourisme ?
      Aspect inter-ministériel du Tourisme à prendre en compte. Revenir à un Etat stratège. Renforcer les moyens de certaines structures comme Atout France, chargé de faire la promotion de la France à l’étranger. Donner un pouvoir plus important aux communes dans le domaine du Tourisme.
    • Comment améliorer l’attractivité de la France et traiter la problématique de la sécurité pour les touristes étrangers ?
      Mener un véritable combat contre les attentats islmistes et le déficit sécuritaire qui marque les esprits. Restaurer également la sécurité dans les quartiers en augmentant notamment les effectifs de Police et de gendarmerie. Concernant le risque d’uniformisation culturelle de la mondialisation, défendre la spécificité de la France. Inscrire dans la constitution la défense et la promotion du Patrimoine historique et culturel de la France sur lequel est adossé une grande partie du Tourisme en France. Retrouver une monnaie adaptée à notre économie en faveur de nos exportations, dont le secteur du Tourisme sera le premier bénéficiaire, car accueillir des touristes étrangers revient à exporter. Valoriser le potentiel touristique des territoires français d’Outre-mer. Investir davantage pour promouvoir nos richesses touristiques, particulièrement auprès des acteurs à l’étranger pour qu’ils deviennent de véritables ambassadeurs du Tourisme français.
    • Comment développer l’emploi dans le tourisme et faire face à l’ubérisation de l’économie touristique ?
      Autant les emplois du tourisme ne sont pas délocalisables, ce qui en fait toute leur valeur, autant la numérisation oblige à constater que les recettes du tourisme sont elles parfois délocalisées. Dans ce sens, créer un secrétariat d’Etat dédié aux mutations économiques pour les anticiper, les accompagner et non les subir en termes de concurrence déloyale, et faire que les « innovants » et les « traditionnels » jouent avec la même règle du jeu. Pour accroître l’emploi dans le secteur du tourisme, développer une offre de formation et renforcer l’attractivité de celle existante, et ce dès le collège, avec la fin du collège unique et le développement massif de l’alternance adaptée particulièrement au secteur du Tourisme. Pour ce qui est de l’emploi au sens strict, mettre en place la priorité nationale et supprimer la directive détachement. Aussi, soutenir les exportations dans le secteur du tourisme, illustré par l’annonce récente du Puy du Fou de créer 2 parcs à l’étranger. Inciter davantage les français à consommer français y compris dans le tourisme, la France de part sa diversité proposant tous les types de tourisme existants. Développer le tourisme d’Outre-mer, tout particulièrement en haut de gamme et doter le secteur touristique ultra-marin de structures hôtelières adaptées à un tourisme international de qualité. Soutenir le développement de nouveaux types de tourisme : tourisme industriel à destination de nos compratriotes, tourisme d’affaires à destination d’une clientèle étrangère aisée à faire venir avec enfants et conjoints si possible.
    • Simplification et fiscalité : quelles mesures prendre pour faciliter le travail des professionnels du tourisme ?
      Pas de mesures sectorielles, mais permettre à toutes les entreprises de bénéficier de mesures de relance pour les TPE/PME, notamment par la mise en place d’un guichet unique les concernant, comme point d’entrée pour toutes leurs questions sociales, fiscales, administratives. Généraliser également le Titre Emploi Service Entreprise aux TPE. Egalement instaurer un nouveau dispositif relatif au compte pénibilité reposant sur une évaluation personnalisée grâce à une médecine du travail qui sera reconstituée. Lisser également les effets de seuil qui sont un frein à l’embauche. Pour la simplification, supprimer le prélèvement à la source. Egalement, procéder à une autre construction européenne avec l’objectif de libérer les entreprises de normes inutiles. Assouplir la réglementation sur les horaires d’ouverture afin d’éviter la fuite des clients vers des destinations proposant plus de liberté, et donner au Maire et non à l’Etat l’initiative dans ce domaine. Décentraliser la politique touristique au niveau des Maires dans une grande partie de sa réglementation afin de prendre en compte les spécificités du territoire. Enfin, réfléchir sur le droit de travail et les contrats spécifiques au secteur du tourisme qui ne sont pas constant au cours de l’année.
    • Comment aider les français qui ne partent pas en vacances ?
      Nos compatriotes qui ne partent pas en vacances souligne l’augmentation de la pauvreté. Pour remédier à cela, aider les classes populaires par l’instauration de la priorité nationale, revalorisation le minimum vieillesse, instaurer une prime à destination des bas revenus, baisser les tarifs réglementés et diminuer de 10% les 3 premières tranches de l’impôt sur le revenu et contrairement à certains de nos concurrents, ne pas augmenter ni la TVA, ni la CSG qui serait catastrophique pour le secteur du tourisme. Encourager également les centres de vancances qui accueillent le plus souvent des enfants issus des classes populaires, et enfin élargir l’offre touristique pour que chacun puisse en bénéficier sur l’ensemble du territoire et non sur de seules zones privilégiées.

    David Rachlinepour Marine le Pen
    • Quelle forme de gourvernance ministérielle pour le secteur du Tourisme ?
      Le tourisme, c’est Matignon. Penser une organisation stratège dans ce domaine auprès du 1er Ministre. Réinstaurer une DATAR, c’est-à-dire mettre en place un outil interministériel qui a l’autorité sur chaque Ministère, dont le premier Ministre est l’animateur et le responsable. Lancer un « Varenne du tourisme » en écho au « Grenelle de l’environnement », comme structure horizontale sur tous les ministères, avec Bercy pour permettre les arbitrages financiers favorables.
    • Comment améliorer l’attractivité de la France et traiter la problématique de la sécurité pour les touristes étrangers ?
      Soutenir un Tourisme qualitatif avec une montée en gamme, une qualité de nos produits, de nos prestations et de nos marges. Concernant l’image de la France, viser un leadership mondial. Pour cela, convaincre chaque français que le Tourisme est une priorité pour la France donc pour lui. Développer des actions globales et des actions sectorielles. Jouer sur des actions comme les Jeux Olympiques et les expositions universelles, et tout ce qui peut assurer la promotion de la France, sans oublier la communication. Ne jamais séparer Culture et Tourisme, et rester très attaché à notre Patrimoine. La sécurité est aujourd’hui le sujet de la guerre économique en étant utilisée en termes de communication par nos adversaires. Il ya aussi en France une politique qui supprime tous les paiements cash ce qui nous pénalise vis-à-vis de certains marchés touristiques étrangers. Pour résoudre ces problèmes d’insécurité et de cash, organiser une sécurité très renforcée en la développant dans le cadre d’un partenariat public-privé.
    • Comment développer l’emploi dans le tourisme et faire face à l’ubérisation de l’économie touristique ?
      Entre les PME et les grands groupes, avoir des approches spécifiques pour faire en sorte que ceux qui participent à l’attractivité du Pays puissent trouver des avantages : soit par la capacité d’avoir un taux d’IS spécifique, soit par celle de pouvoir réaffecter le capital et les résultats à des taux spécifiques. Concernant les PME, promouvoir un modèle économique leur permettant de vivre de leur métier. Dans ce contexte, nécessaire de développer un modèle économique en termes de charges sociales, de fiscalité pour soutenir les entreprises. Travailler également avec les Régions et les organisations professionnelles pour avoir une formation parmi les meilleures, en cohérence avec l’objectif de leadership mondial du tourisme français. Concernant les nouvelles technologies, comme l’innovation et l’intelligence est ce qu’il y a de plus fort dans notre Pays, avoir comme perspective concernant le digital de mettre en France les têtes de réseau, les cerveaux du système.
    • Simplification et fiscalité : quelles mesures prendre pour faciliter le travail des professionnels du tourisme ?
      Concernant la simplification dans le secteur touristique, il convient de donner une sorte de pouvoir dérogatoire à un seul représentant de l’Etat, en lui permettant le pouvoir d’interprétation, dépassant ainsi les seuls textes qui créent des seuils, des normes et donc de l’injustice. Revoir également le désordre de la loi NOTRe, notamment concernant les Départements qui délaissent trop rapidement le tourisme, pour faire en sorte que dans les territoires, il n’y ait pas un abondon de la proximité et de la qualité. Le tourisme souffre ainsi d’abord aujourd’hui de la baisse des dotations des collectivités territoriales, ensuite de cette désorganisation où chacun essaie de faire des économies.
    • Comment aider les français qui ne partent pas en vacances ?
      Pour ceux qui ne partent pas en vacances, créer une sorte de « tourisme éducatif », notamment sous forme de « chèque tourisme éducatif » intégré dans l’allocation scolaire de rentrée. Cela fait partie de l’ouverture des gens, car la tourisme ajoute de l’intelligence, de l’interactivité. La priorité au final, c’est donner de l’emploi, car c’est la meilleure des politiques sociales.

    Jean-Pierre Raffarinpour François Fillon

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